Finies les balades le long du canal (mon cher Canal St Martin, mon voisin)
les escaliers des cartes postales (qui me font tant flipper tellement c'est haut)
c'est fini, Paris (Capriiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii c'est... ahem pardon)
c'est décidé, je me barre (dans un mois)
finis le ciel gris, les matins moroses, (on est gâtés en ce moment)
on dit qu'à Toulouse les briques sont roses (je vais revérifier le 13 Juin)
oh là-bas, Paris, les briques sont roses (gghhii)
Paris, tu paries, Paris, que je te quitte (1oo balles et un mars)
que je change de cap, de capitale (euh, de capitale de territoire alors?)
Paris, tu paries, Paris, que je te quitte (ok, j'ai gagné, mais c'est moi qui ai raqué...)
je te plaque sur tes trottoirs sales (très sales)
je connais trop ta bouche, bouche de métro (surtout celles de République et Bonne Nouvelle)
les bateaux mouche et la couleur de l'eau (celle du Canal, elle est verte)
c'est fini Paris, je les connais trop (oui, mais on s'y fait, hein)
ici je m'ennuie, même quand vient la nuit (oh, pas tant que ça...)
on dit que Séville s'éveille à minuit (ah ça je sais pas)
là-bas, Paris, la ville s'éveille à minuit (ok, ok, je te crois)
à Toulouse il a plu, à Séville j'ai trop bu (tu m'étonnes qu'on me traite d'alcoolo après...)
à Rio j'ai eu le mal du pays (fort probable mais pas à Rio)
oh pari perdu, je retourne vivre à Paris (oui, en janvier normalement)
By Camille. 'Paris' Là ou je suis née.
vendredi 30 mai 2008
jeudi 29 mai 2008
Ôde au Grand Touffu
Je peux mourir l'âme en paix.
Grâce à Lui j'ai rencontré Pitchounne, Saminouch, Gloda, Audrey, Le Poulpe Royale, Bis2kt (prononcez bistouquette) en décembre 2006.
Non, Princesse, je ne t'oublie pas, je te connaissais avant, c'est tout.
Pendant un an et demi, j'ai entendu parlé de Lui, de Ses frasques, de l'ambiance dans Sa loge.
Depuis la même époque, j'ai ri de Ses vannes, de Son spectacle.
Quelques fois, j'ai été consternée par Ses propos.
Bien des fois je me suis moquée de Lui (toujours dans le respect de l'adage ''Qui aime bien châtie bien'', on l'adorait...).
Depuis la même époque, j'ai ri de Ses vannes, de Son spectacle.
Quelques fois, j'ai été consternée par Ses propos.
Bien des fois je me suis moquée de Lui (toujours dans le respect de l'adage ''Qui aime bien châtie bien'', on l'adorait...).
Samedi 24 Mai, après maintes et maintes fois où j'aurais dû, mais j'ai pas pu, je suis allée voir Môssieur Tomer Sisley en spectacle avec Sam, Sandra et sa maman. Pour sa dernière. Il était temps.
Et comme Sandra bosse avec Lui, on a squatté les loges après.
Et comme Sandra bosse avec Lui, on a squatté les loges après.
Et donc je L'ai vu, et comme on me présentait à Lui, Il m'a fait ''La Bise'', la fameuse, la célèbre, comprenne qui peut. On a discuté quelques instants, j'ai aidé Sam à Le mettre dans l'embarras « 12€uros! », nous avons échangé 2, 3 banalités, et après qu'Il m'ait proposé un Coca Light pour appaiser ma faim (cherchez pas...), nous avons pris congé, Le laissant en compagnie de ses 3 fans.
Verdict?
Bah je Te voyais plus grand, cher Grand Touftouffe, mais Tu es ma foi fort sympatique. Irrationnel mais sympatique.
Ravie d'avoir enfin fait (brièvement) Ta connaissance, depuis le temps où on aurait dû se voir, même si Tu n'étais pas au courant.
Et vivement décembre, ça donne envwinch.*
P.S. Droit d'auteurs, tout ça tout ça, photos empruntée sur le blog de Largo Winch.
*Pardon, Sam, j'ai essayé, mais je n'égalerai jamais ton génie. /o\ \o/ /o\
Karma sous draps
Pitié, famille à moi, ne lit pas ça.
Oui, j'ai envie de parler un peu de choses intimes. Une fois n'est pas coutume.
J'ai récemment parlé avec une amie du nombre d'amants qu'on a déjà pu avoir à notre (jeune) âge.
Moi qui me pensait plutôt dans la moyenne basse, j'ai du réviser mon jugement.
Attention, hein, je ne suis pas une croqueuse d'hommes, encore moins une s****e, qu'on se le dise bien. Au contraire, je suis assez réservée avec la gente masculine. Mais il est vrai que depuis que j'ai mûri (on va dire ça comme ça), je suis un peu moins farouche.
Bon, on se voile pas la face, je sais que certaines vont rire en disant "C'est tout?" mais bon, bref.
L'amie en question dénombrait (si je me souviens bien) quatre hommes.
Moi huit. Depuis quatre ans.
Deux par an en moyenne me direz-vous, c'est pas énorme... Sauf que dans le lot il n'y a eut que trois “vraies” relations.
Mon Toujours-Pote, mon Geek et mon Métalleux. Bon, ils sont tous les trois geeks, d'accord, mais fallait bien les différencier.
'Avec mon Tjs-Pote, vous l'aurez deviné, on s'entend encore bien, même si on se donne peu de nouvelles, ça fait toujours plaisir d'en avoir. C'est le premier mec avec qui j'ai rompu et gardé une certaine complicité, et un contact tout court d'ailleurs, après une brouille passagère pour cause de limites floues.
'Mon Geek, c'est ma plus longue relation “complète” (sinon, ça remonte au lycée, deux mois et demi d'une amourette d'adolescente encore sage). Malgré une rupture pas facile et une page finalement tournée, c'est quelqu'un qui compte pour moi, et j'espère qu'il le sait (en tout cas maintenant oui, hein?).
'Mon Métalleux est quelqu'un que j'apprécie aussi beaucoup, des fois ça marche juste pas, c'est pas plus compliqué que ça.
Oui mais les cinq autres alors? Ah ben oui.
Déjà, y'a forcément eut un tout premier.
'Mon Anim'. Petite fierté, parce que c'était le plus beau gosse des vacances. Oui je sais, je me satisfait de pas grand chose, mais à 19ans et pas de mec depuis 2ans (rien du tout du tout -_-), ça m'a fait un bien fou que ça soit “moi” qui l'ai eut, gnia! Mais aïe aussi, un peu.
'Puis mon Collégien. Non, il n'avait pas 14ans. Là aussi, c'est du gonflement d'égo, je bavais sur ce mec depuis la 5ème. Comme quoi des fois ça paye de perséverer...
'Le Cousin. Pas le mien hein, bande de pervers, ça va pas la tête. Juste un cousin. Mignon, entreprenant et géographiquement compatible.
'Celui d'après j'arrive pas à lui trouver de surnom qui ne soit ni grillé, ni pas cool... Le Courant d'Air, peut-être? On s'est pas mal tourné autour et je vais pas être très sympa mais quand je l'ai eu, j'en ai plus voulu. Déçue.
'Et pour finir le compte, mon Lecteur. Internet c'est chouette, ça permet de briser la glace quand on ose pas en face. C'est quelqu'un de pas facile à cerner, mais j'en garde un bon souvenir, et notamment de certaines de nos conversations. Il m'a aussi appris quelque chose. « Mais t'es consciente que tu éveilles le désir chez les mecs? -Non. -Ben je te le dis alors. » Et je suis pas la seule à ne pas supporter les “guilis” (mamours, caresses, gratouilles, appelez ça comme ça vous chante), ça me rassure.
Voilà, voilà.
Ne cherchez pas à savoir, même si vous pensez reconnaître quelqu'un, je ne dirais rien. Mon but n'est ni de dire « Ouais, je me suis fait Machin, t'as vu? », ni de remettre sur le tapis quelque chose qui est arrivé dans le passé. Certains sont désormais en couple et heureux, d'autres seuls (et pas forcément malheureux), et c'est très bien comme ça.
Je voulais juste faire un tit bilan. Je remarque que je ne regrette rien, pas même les déceptions, c'est ce qui a fait que je suis telle que je suis aujourd'hui.
samedi 24 mai 2008
Voyage voyage!
J'ai vu ma môman ce soir.
On a parlé préparatifs et bagages pour l'Australie.
J'ai encore pas mal de choses à faire mais tout ce que j'ai encore à voir je ne pouvais malheureusement pas le faire plus tôt. On ne fait pas son sac trois mois avant le départ, pas vrai?
Bref. J'ai donc commencé à faire ma liste.
Il est évident que je vais me charger en high tech. Je ne partirais pas sans laptop (acheté cet automne exprès pour l'occasion), mon iPod, ma Nintendo DS (ça dit à quelqu'un l'exportation des DS in Paris à Brisbane?), probablement mon téléphone portable dès que je l'aurais fait débloquer, et tout ce qui va avec: chargeurs, adaptateurs, webcam, cables usb...
Mais il faudra aussi que j'emmêne de quoi me vêtir. Si, si, ça peut être utile.
Donc. Sachant que je me limite à 20kg (droit à 30 en international mais 20 en interne en Australie), et que j'ai déjà 15 kg de pc et autres joujous... Il ne me reste pas grand grand chose... Ahem.
Alors, au cas où, et c'est fort probable, j'aille crapahuter dans l'Outback, il me faut des vêtements solides, mais je risque aussi de passer du temps en ville, donc jolies fringues de rigueur.
Jean: pantalon et pantacourts, voire veste.
Coton: legging, débardeurs, gilets.
Il faudra aussi des pulls, parce que ça peut cailler dans le désert la nuit.
Jupes, robes, tuniques...
Maillotssss de bain.
Drap de bain (sûrement mon Hello Kitty ^^).
Pour les serviettes de toillettes, j'ai trouvé le top du top. « Packtowl Ultralite » Ce sont des serviettes en microfibres. La taille drap de bain a l'encombrement d'un petit torchon de cuisine. Alors non, c'est pas moêlleux comme une serviette éponge, mais ça absorbe super bien.
Gros dilemme de fille, le choix des chaussures fut terrible.
Verdict.
5paires. Petites. Si, si.
Mes baskets Reebok vintage de 1998. Si, si, elles tiennent encore. La preuve.
Ca c'est fait.
Bon je vous fait grâce de la liste de sous-vêtements, trousses de toilette et autres trucs de filles. Non, vraiment, n'insitez pas. Si?
Bon, un truc alors. La pierre D'Alun. C'est du déo 100%bio, et c'est vachement bien. Un déo dure jusqu'à un an. Et je ne vous parlerais pas de la Mooncup. Vraiment pas. :D
Bon, pour revenir à mon voyage, va aussi falloir faire un choix de bagage.
Ca dépendra surtout de mon choix de mode de vie.
A savoir sac à dos pour un voyage tout autour du pays des Kangourous, où alors, valise et sédentarisme. C'est moins palpitant, mais ça me correspond plus. Quitte à aller ponctuellement à Fraser Island, en Tasmanie ou à Ayers Rock. Hein Agathe? :)
Bon, je crois que j'ai fait le tour.
Pour ce qui est démarche administrative, j'ai tout payé mon billet, j'ai quasi rendu mon appart, il me manque (plus que) la banque Australienne, l'assurance santé, et l'appart sur place. Ah, et le stock de médocs à emporter.
Je pense faire une tite “Farewell Party”. Vous y êtes tous conviés.
Vous préférez aller boire de la bière Australienne un soir au Café Oz payant le vendredi et samedi soir (donc y aller un autre jour hein, je vais pas vous faire payer, sauf si vous y tenez), ou faire un pique nique un samedi (ou dimanche) midi/aprèm'? (Genre samedi 22 juin, au pif. Ou autre. Votez!)
Vote on t'a dit! ^^
On a parlé préparatifs et bagages pour l'Australie.
J'ai encore pas mal de choses à faire mais tout ce que j'ai encore à voir je ne pouvais malheureusement pas le faire plus tôt. On ne fait pas son sac trois mois avant le départ, pas vrai?
Bref. J'ai donc commencé à faire ma liste.
Il est évident que je vais me charger en high tech. Je ne partirais pas sans laptop (acheté cet automne exprès pour l'occasion), mon iPod, ma Nintendo DS (ça dit à quelqu'un l'exportation des DS in Paris à Brisbane?), probablement mon téléphone portable dès que je l'aurais fait débloquer, et tout ce qui va avec: chargeurs, adaptateurs, webcam, cables usb...
Mais il faudra aussi que j'emmêne de quoi me vêtir. Si, si, ça peut être utile.
Donc. Sachant que je me limite à 20kg (droit à 30 en international mais 20 en interne en Australie), et que j'ai déjà 15 kg de pc et autres joujous... Il ne me reste pas grand grand chose... Ahem.
Alors, au cas où, et c'est fort probable, j'aille crapahuter dans l'Outback, il me faut des vêtements solides, mais je risque aussi de passer du temps en ville, donc jolies fringues de rigueur.
Jean: pantalon et pantacourts, voire veste.
Coton: legging, débardeurs, gilets.
Il faudra aussi des pulls, parce que ça peut cailler dans le désert la nuit.
Jupes, robes, tuniques...
Maillotssss de bain.
Drap de bain (sûrement mon Hello Kitty ^^).
Pour les serviettes de toillettes, j'ai trouvé le top du top. « Packtowl Ultralite » Ce sont des serviettes en microfibres. La taille drap de bain a l'encombrement d'un petit torchon de cuisine. Alors non, c'est pas moêlleux comme une serviette éponge, mais ça absorbe super bien.
Gros dilemme de fille, le choix des chaussures fut terrible.
Verdict.
5paires. Petites. Si, si.
Mes baskets Reebok vintage de 1998. Si, si, elles tiennent encore. La preuve.
Une paire pour la marche. Je ne sais pas encore lesquelles, je n'en ai pas, va falloir en acheter.
Deux paires de ballerines, une blanche, une noire.
Et une paire de petites mules à talons dont je ne peux me passer durant les beaux jours.
En parlant de mes mules, vous connaissez les strings pour pieds (Je ne mets pas les unes sans les autres)? Non? Regardez:
Ca c'est fait.Bon je vous fait grâce de la liste de sous-vêtements, trousses de toilette et autres trucs de filles. Non, vraiment, n'insitez pas. Si?
Bon, un truc alors. La pierre D'Alun. C'est du déo 100%bio, et c'est vachement bien. Un déo dure jusqu'à un an. Et je ne vous parlerais pas de la Mooncup. Vraiment pas. :D
Bon, pour revenir à mon voyage, va aussi falloir faire un choix de bagage.
Ca dépendra surtout de mon choix de mode de vie.
A savoir sac à dos pour un voyage tout autour du pays des Kangourous, où alors, valise et sédentarisme. C'est moins palpitant, mais ça me correspond plus. Quitte à aller ponctuellement à Fraser Island, en Tasmanie ou à Ayers Rock. Hein Agathe? :)
Bon, je crois que j'ai fait le tour.
Pour ce qui est démarche administrative, j'ai tout payé mon billet, j'ai quasi rendu mon appart, il me manque (plus que) la banque Australienne, l'assurance santé, et l'appart sur place. Ah, et le stock de médocs à emporter.
Je pense faire une tite “Farewell Party”. Vous y êtes tous conviés.
Vous préférez aller boire de la bière Australienne un soir au Café Oz payant le vendredi et samedi soir (donc y aller un autre jour hein, je vais pas vous faire payer, sauf si vous y tenez), ou faire un pique nique un samedi (ou dimanche) midi/aprèm'? (Genre samedi 22 juin, au pif. Ou autre. Votez!)
Vote on t'a dit! ^^
vendredi 23 mai 2008
RATP, nous allons vous faire adorer vos pieds.
Il y a des jours où on a presque la poisse.
Parce que je suis pas douée, je dois mettre à jours mes dossiers, inscriptions et autres conneries je sais pas quoi au niveau de ma mutuelle/sécu étudiante.
Bref, je me rends donc à Jussieu où se trouve le bureau. Il est fermé pour séminaire pendant 3 jours... Grr...
Bon, je rentre, je prends le métro 7, change à Châtelet pour prendre la 4 et à une station de celle où je descends... Le train s'éteind et s'arrête. Mise hors tension qu'ils ont dit.
Bon.
Forcément j'étais dans la ram remplie d'un groupe de gamins (une trentaine). Mais ça n'a pas duré longtemps. Ouf.
Je fais mes achats, reprends le métro (pour 2 stations) pour me rendre chez ma mère. Juste avant ma station... Je vous le donne en mille. Le train s'arrête et s'éteind. Mise hors tension qu'ils ont dit.
La la la. -_-
Là aussi ça n'a duré que très peu de temps, donc l'un dans l'autre je n'ai pas trop à me plaindre...
Mais ça fait chier quand même.
Si, un peu.
Parce que je suis pas douée, je dois mettre à jours mes dossiers, inscriptions et autres conneries je sais pas quoi au niveau de ma mutuelle/sécu étudiante.
Bref, je me rends donc à Jussieu où se trouve le bureau. Il est fermé pour séminaire pendant 3 jours... Grr...
Bon, je rentre, je prends le métro 7, change à Châtelet pour prendre la 4 et à une station de celle où je descends... Le train s'éteind et s'arrête. Mise hors tension qu'ils ont dit.
Bon.
Forcément j'étais dans la ram remplie d'un groupe de gamins (une trentaine). Mais ça n'a pas duré longtemps. Ouf.
Je fais mes achats, reprends le métro (pour 2 stations) pour me rendre chez ma mère. Juste avant ma station... Je vous le donne en mille. Le train s'arrête et s'éteind. Mise hors tension qu'ils ont dit.
La la la. -_-
Là aussi ça n'a duré que très peu de temps, donc l'un dans l'autre je n'ai pas trop à me plaindre...
Mais ça fait chier quand même.
Si, un peu.
dimanche 18 mai 2008
Let the music play!
Dernièrement, j'ai découvert quelques chanteuses qu'elles sont bien.
Ca faisait longtemps que j'écoutais la même chose à quelques détails près, les mêmes vieilles chansons que j'ai depuis des années.
J'ai désormais rajouté quelques artistes à ma playlist.
Micky Green (une ex mannequin Australienne),
Yael Naïm (découverte dans la comédie musicale Les 10 Commandements et désormais mondialement célèbre grâce à Apple),
Duffy (Mercy, un style "Disco/Sixties" que j'adore),
Gaëtane Abrial (mais siiii, la muse de Manoukian dans la Nouvelle Star, promo Julien Doré),
Zoë Avril (découverte sur M6 Grâce à mes insomnies qui m'ont tenues éveillée jusqu'à l'heure du "Monde de Zoë Avril"),
Kate Nash (l'accent British c'est Zoli!),
Petra Magoni (la chanteuse Italienne revisite les grands tubes en un sobre "contrebasse-voix"),
Feist (aussi choisie par le géant à la pomme comme ambassadrice d'un de ses produits),
Pauline ("Allllôôô le moooooooooooooonde tin, tin, tin, tin, tin, est-ce que tout va bieeen!!!")
Colbie Caillat (c'est frais, c'est joli, c'est californien, et quand on sait que la miss a seulement 22ans, on dit bravo... et merci Sandra, hihi).
Que des chanteuses, pas un seul mec. Bon, si, ya bien Renan Luce qui se laisse bien écouter en fait ^^
J'ai aussi eu une chanson qui m'est revenue en tête. Quelque chose que mes parents écoutaient quand j'étais petite.
"Lambarena, Bach to Africa", et notamment la chanson Sankanda. Une rencontre entre la musique classique de Bach et de la musique traditionnelle du Gabon, un bonheur pour les oreilles.
Voilà voilà... Educationez donc vos noreilles si vous ne connaissez pas, et puis, si vous connaissez, ben réécoutez les, ça fait pas de mal. ^^
"Sankanda oubassaaaaaaaa!!!"
Edit: J'ai bien évidemment oublié de parler d'Amy Winehouse. Ben, oui. Quand même.
Edit (h Piaf): Ah ben ya The Do aussi... m'en suis souvenue grâce à une pub, et retrouvé le nom grâce aux clips d'M6.
Ca faisait longtemps que j'écoutais la même chose à quelques détails près, les mêmes vieilles chansons que j'ai depuis des années.
J'ai désormais rajouté quelques artistes à ma playlist.
Micky Green (une ex mannequin Australienne),
Yael Naïm (découverte dans la comédie musicale Les 10 Commandements et désormais mondialement célèbre grâce à Apple),
Duffy (Mercy, un style "Disco/Sixties" que j'adore),
Gaëtane Abrial (mais siiii, la muse de Manoukian dans la Nouvelle Star, promo Julien Doré),
Zoë Avril (découverte sur M6 Grâce à mes insomnies qui m'ont tenues éveillée jusqu'à l'heure du "Monde de Zoë Avril"),
Kate Nash (l'accent British c'est Zoli!),
Petra Magoni (la chanteuse Italienne revisite les grands tubes en un sobre "contrebasse-voix"),
Feist (aussi choisie par le géant à la pomme comme ambassadrice d'un de ses produits),
Pauline ("Allllôôô le moooooooooooooonde tin, tin, tin, tin, tin, est-ce que tout va bieeen!!!")
Colbie Caillat (c'est frais, c'est joli, c'est californien, et quand on sait que la miss a seulement 22ans, on dit bravo... et merci Sandra, hihi).
Que des chanteuses, pas un seul mec. Bon, si, ya bien Renan Luce qui se laisse bien écouter en fait ^^
J'ai aussi eu une chanson qui m'est revenue en tête. Quelque chose que mes parents écoutaient quand j'étais petite.
"Lambarena, Bach to Africa", et notamment la chanson Sankanda. Une rencontre entre la musique classique de Bach et de la musique traditionnelle du Gabon, un bonheur pour les oreilles.
Voilà voilà... Educationez donc vos noreilles si vous ne connaissez pas, et puis, si vous connaissez, ben réécoutez les, ça fait pas de mal. ^^
"Sankanda oubassaaaaaaaa!!!"
Edit: J'ai bien évidemment oublié de parler d'Amy Winehouse. Ben, oui. Quand même.
Edit (h Piaf): Ah ben ya The Do aussi... m'en suis souvenue grâce à une pub, et retrouvé le nom grâce aux clips d'M6.
vendredi 9 mai 2008
Tout ce qui est petit...
Depuis pas mal d'années, je suis au courant que je suis ce qu'on appelle un petit gabari.
Toujours devant sur les photos de classes, je dois souvent faire des ourlets à mes jeans avec lesquels je pourrais parfois me faire des grenouillères, j'ai appris à être une gentille accoudoir qui ne bronche pas trop (hein Quaigy? :p), j'ai une merveilleuse capacité à ne pas entendre les "Fallait manger de la soupe quand t'étais petite" et autres "T'as oublié de grandir", sans oublier les "Monte de 2 marches pour voir? Ah nan, je te dépasse encore Mwahahaha"...
Et bien j'ai quand même quelques avantages à ne mesurer qu'1m58.
Tout d'abord, inutile mais ça me fait marrer, je tiens debout et bien droite sous ma mezzannine.
Ensuite, à l'époque ou j'en achetais une paire par an, je choisissait mes Nike Air BW au rayon enfant, soit 549 Francs au lieu de 799. Na.
Depuis cette époque, je n'ai toujours pas arrêté de me vêtir en pantalons Cimarron taille 14/16ans (pas d'ourlet! \o/).
Je suis dans la taille unique Thailandaise (ma mère y va souvent), alors qu'en France, je nage un peu dedans...
J'aime bien me dire aussi que je fais du "36 partout", même si en haut c'est parfois plus 34...
Bref, tout ça pour dire qu'hier, en rentrant de la DS in Paris, je vois sous le strapontin un bout de tissu noir.
Chose que je ne fais jamais, je le rammasse. Oh! un gilet! Tiens, mais, on dirais qu'il pourrait m'aller...
Largeur des épaules... OK.
Longueur des bras... OK.
Longueur du buste... OK.
Etiquette. 126/8.
:D
Let's try it.
J'ai désormais un petit gilet manche 3/4 près du corps.
Ca tombe bien j'en avais pas.
Toujours devant sur les photos de classes, je dois souvent faire des ourlets à mes jeans avec lesquels je pourrais parfois me faire des grenouillères, j'ai appris à être une gentille accoudoir qui ne bronche pas trop (hein Quaigy? :p), j'ai une merveilleuse capacité à ne pas entendre les "Fallait manger de la soupe quand t'étais petite" et autres "T'as oublié de grandir", sans oublier les "Monte de 2 marches pour voir? Ah nan, je te dépasse encore Mwahahaha"...
Et bien j'ai quand même quelques avantages à ne mesurer qu'1m58.
Tout d'abord, inutile mais ça me fait marrer, je tiens debout et bien droite sous ma mezzannine.
Ensuite, à l'époque ou j'en achetais une paire par an, je choisissait mes Nike Air BW au rayon enfant, soit 549 Francs au lieu de 799. Na.
Depuis cette époque, je n'ai toujours pas arrêté de me vêtir en pantalons Cimarron taille 14/16ans (pas d'ourlet! \o/).
Je suis dans la taille unique Thailandaise (ma mère y va souvent), alors qu'en France, je nage un peu dedans...
J'aime bien me dire aussi que je fais du "36 partout", même si en haut c'est parfois plus 34...
Bref, tout ça pour dire qu'hier, en rentrant de la DS in Paris, je vois sous le strapontin un bout de tissu noir.
Chose que je ne fais jamais, je le rammasse. Oh! un gilet! Tiens, mais, on dirais qu'il pourrait m'aller...
Largeur des épaules... OK.
Longueur des bras... OK.
Longueur du buste... OK.
Etiquette. 126/8.
:D
Let's try it.
J'ai désormais un petit gilet manche 3/4 près du corps.
Ca tombe bien j'en avais pas.
mardi 6 mai 2008
42
Après la réponse à la grande question sur la vie, sur l'univers et sur tout le reste, je viens de trouver la mienne.
Facebook.
Je fais un test à la con et voilà ce qu'il me répond:
"Votre époque: Les années 6O.
Vous étiez fait(e) pour vivre pendant la parenthèse enchantée. Vous n'êtes sans doute au départ qu'une enfant gatée très paresseuse, mais votre curiosité va vous permettre de changer vos vues sur le monde.
Les considérations matérielles vont finalement vous faire horreur. Vous aspirerez à plus de légèreté et apprendrez les plaisirs simples comme l'amour de la nature.
Il y a chez vous une part d'insoumission qui n'accèpte pas le poids des normes, sachez la cultiver au lieu de tomber dans la caricature bohème.
Vous avez de bonnes raisons d'être mal à l'aise en 2008.
Vous qui placez le voyage en tête de l'expérience humaine allez faire de belles rencontres dans votre vie, et qui sait peut-être guider quelqu'un. "
Bon allez, sur ce, après une journée complète de glandouille sur le net dont je ne peux pas me passer, je vais me faire à manger jap/bio dans mon appart au loyer en partie payé par mes parent en plein chaos parisien, et penser à l'Australie, à l'outback australien et au charmant surfeur que je vais rencontrer là-bas, au lieu de me laisser envahir par mes petits blues quotidiens...
Quand même...
Facebook.
Je fais un test à la con et voilà ce qu'il me répond:
"Votre époque: Les années 6O.
Vous étiez fait(e) pour vivre pendant la parenthèse enchantée. Vous n'êtes sans doute au départ qu'une enfant gatée très paresseuse, mais votre curiosité va vous permettre de changer vos vues sur le monde.
Les considérations matérielles vont finalement vous faire horreur. Vous aspirerez à plus de légèreté et apprendrez les plaisirs simples comme l'amour de la nature.
Il y a chez vous une part d'insoumission qui n'accèpte pas le poids des normes, sachez la cultiver au lieu de tomber dans la caricature bohème.
Vous avez de bonnes raisons d'être mal à l'aise en 2008.
Vous qui placez le voyage en tête de l'expérience humaine allez faire de belles rencontres dans votre vie, et qui sait peut-être guider quelqu'un. "
Bon allez, sur ce, après une journée complète de glandouille sur le net dont je ne peux pas me passer, je vais me faire à manger jap/bio dans mon appart au loyer en partie payé par mes parent en plein chaos parisien, et penser à l'Australie, à l'outback australien et au charmant surfeur que je vais rencontrer là-bas, au lieu de me laisser envahir par mes petits blues quotidiens...
Quand même...
Sublim'inal
La nuit est claire.
Autour de moi, tout est vaporeux. Il flotte dans l'air une odeur boisée de soir d'été après la tombée de la pluie.
Je me réveille en travers de mon lit.
Devant moi, une ombre. Ou plutôt, une silhouette claire, comme un voile.
Des cheveux sombres, longs, très longs, bien plus que les miens, sont étalés sur les draps. Un visage est là, tout près du mien, mais bien trop flou pour que je puisse en distinguer les traits.
Une bouche cependant se devine. Charnue, parfaitement dessinée, d'une belle teinte ambrée.
Tout en transparence, à travers une peau couleur de miel, je distingue mes draps crème.
Des yeux apparaissent, d'un noir profond. Ils me fixent tendrement, amoureusement.
Le parfum ennivrant de la canelle m'envahit.
Je ressents un bonheur intense. Mais je suis en même temps frappée par une détresse profonde, une déchirure terrible au fond de moi. Malheureuse, je suis résignée à accepter l'inévitable abandon.
Je m'approche de cet homme allongé à mes côtés, et tente de l'effleurer. Ma main traverse son torse et caresse son coeur. Il me sourit et passe ses doigts dans mes cheveux qui restent immobiles sur l'oreiller.
Embrasser quelqu'un qu'on ne peut toucher est une sensation aussi étrange que délicieuse, le plus beau baiser qu'on puisse imaginer...
Tandis que nos lèvres se cherchent sans se trouver, ma main heurte un bras, une épaule, puis un torse. Notre étreinte imaginaire devient charnelle, et mes lèvres découvrent les siennes, si douces et sucrées.
Depuis mon réveil, aucun mot n'a encore été prononcé. Ils sont inutiles. En un regard il me connait par coeur, mes joies, mes peines, mes doutes et mes espoirs, je lui suis entièrement dévoilée. En un sourire il m'a livré son âme et son coeur.
Cependant, je m'interroge... D'où me vient-il? Je l'observe. Sud-Américain? Asiatique? Indien d'Amérique? Je ne saurais le dire. Il paraît venu d'un autre monde, d'une autre époque, est-ce possible?
Une évidence pourtant. Cet homme sera le père de mes enfants car il est l'homme de ma vie et plus encore.
Tout à coup, tout s'accélère.
J'ai envie de crier ma joie au monde entier, mais, non, c'est mon secret.
Regardez! Je suis heureuse!
Non... Cache-toi!
Tu n'es rien qu'à moi... Mon trésor, mon jardin secret.
Quelqu'un vient! Vite, derrière l'amoire, on ne doit pas te voir.
Non! Attends! Enlace-moi jusqu'à m'étouffer d'amour.
Si on te découvre, comment expliquer la raison de ta présence?
Mais si tu n'existes pour personne, comment faire ma vie avec toi?
L'excitation d'un amour secret n'a d'égal que la frustration qui en découle.
On t'a découvert! J'en tremble, mais j'en ris aussi.
Voilà mon aimé, mon amant, mon amour!
Le vois-tu? Non.
Il n'y a que moi pour toi ici, mais tu ressens cette présence inexplicable.
"Je ne suis réel que pour toi pour le moment. Je suis voué à disparaître au petit matin, et ainsi chaque jour à moins que l'on ne s'unisse..."
Alors marions-nous! Il ne peut en être qu'ainsi!
La lumière s'intensifie. Pas une lumière blanche et aveuglante, non, juste un halo de teintes indescriptibles.
Une vague de chaleur s'empare de moi, non, c'est de la fraîcheur, non, juste une sensation de bien-être...
L'odeur boisée a laissé place à un parfum fleuri délicat.
Je suis légère, lui aussi. Nous ne touchons plus terre et nous nous rapprochons l'un de l'autre. Ma main au creux de ta main, et ton corps contre le mien...
Tiens... Etait-ce un tintement? Oui, en voilà un autre.
Je suis tienne...
Enfin, tu vis, tu es là, tout le monde te voit.
Mais ces cloches, ces cloches! Au début si jolies, elles deviennent assourdissantes, oppressantes...
Quoi? Que dis-tu? Que j'ouvre les yeux?
Je me réveille, où es-tu?
Mon Amour s'est envolé à jamais... Loin de ma réalité....
A ce soir, je t'attendrais, je serais là où tu m'as trouvée...
En parlant avec Popo de beaux gosses au cinéma, on a parlé « Danse Avec les Loups » et « Cheveux au vent »...
Oh! Mon! Dieu!
This is him! Trait pour trait.
Autour de moi, tout est vaporeux. Il flotte dans l'air une odeur boisée de soir d'été après la tombée de la pluie.
Je me réveille en travers de mon lit.
Devant moi, une ombre. Ou plutôt, une silhouette claire, comme un voile.
Des cheveux sombres, longs, très longs, bien plus que les miens, sont étalés sur les draps. Un visage est là, tout près du mien, mais bien trop flou pour que je puisse en distinguer les traits.
Une bouche cependant se devine. Charnue, parfaitement dessinée, d'une belle teinte ambrée.
Tout en transparence, à travers une peau couleur de miel, je distingue mes draps crème.
Des yeux apparaissent, d'un noir profond. Ils me fixent tendrement, amoureusement.
Le parfum ennivrant de la canelle m'envahit.
Je ressents un bonheur intense. Mais je suis en même temps frappée par une détresse profonde, une déchirure terrible au fond de moi. Malheureuse, je suis résignée à accepter l'inévitable abandon.
Je m'approche de cet homme allongé à mes côtés, et tente de l'effleurer. Ma main traverse son torse et caresse son coeur. Il me sourit et passe ses doigts dans mes cheveux qui restent immobiles sur l'oreiller.
Embrasser quelqu'un qu'on ne peut toucher est une sensation aussi étrange que délicieuse, le plus beau baiser qu'on puisse imaginer...
Tandis que nos lèvres se cherchent sans se trouver, ma main heurte un bras, une épaule, puis un torse. Notre étreinte imaginaire devient charnelle, et mes lèvres découvrent les siennes, si douces et sucrées.
Depuis mon réveil, aucun mot n'a encore été prononcé. Ils sont inutiles. En un regard il me connait par coeur, mes joies, mes peines, mes doutes et mes espoirs, je lui suis entièrement dévoilée. En un sourire il m'a livré son âme et son coeur.
Cependant, je m'interroge... D'où me vient-il? Je l'observe. Sud-Américain? Asiatique? Indien d'Amérique? Je ne saurais le dire. Il paraît venu d'un autre monde, d'une autre époque, est-ce possible?
Une évidence pourtant. Cet homme sera le père de mes enfants car il est l'homme de ma vie et plus encore.
Tout à coup, tout s'accélère.
J'ai envie de crier ma joie au monde entier, mais, non, c'est mon secret.
Regardez! Je suis heureuse!
Non... Cache-toi!
Tu n'es rien qu'à moi... Mon trésor, mon jardin secret.
Quelqu'un vient! Vite, derrière l'amoire, on ne doit pas te voir.
Non! Attends! Enlace-moi jusqu'à m'étouffer d'amour.
Si on te découvre, comment expliquer la raison de ta présence?
Mais si tu n'existes pour personne, comment faire ma vie avec toi?
L'excitation d'un amour secret n'a d'égal que la frustration qui en découle.
On t'a découvert! J'en tremble, mais j'en ris aussi.
Voilà mon aimé, mon amant, mon amour!
Le vois-tu? Non.
Il n'y a que moi pour toi ici, mais tu ressens cette présence inexplicable.
"Je ne suis réel que pour toi pour le moment. Je suis voué à disparaître au petit matin, et ainsi chaque jour à moins que l'on ne s'unisse..."
Alors marions-nous! Il ne peut en être qu'ainsi!
La lumière s'intensifie. Pas une lumière blanche et aveuglante, non, juste un halo de teintes indescriptibles.
Une vague de chaleur s'empare de moi, non, c'est de la fraîcheur, non, juste une sensation de bien-être...
L'odeur boisée a laissé place à un parfum fleuri délicat.
Je suis légère, lui aussi. Nous ne touchons plus terre et nous nous rapprochons l'un de l'autre. Ma main au creux de ta main, et ton corps contre le mien...
Tiens... Etait-ce un tintement? Oui, en voilà un autre.
Je suis tienne...
Enfin, tu vis, tu es là, tout le monde te voit.
Mais ces cloches, ces cloches! Au début si jolies, elles deviennent assourdissantes, oppressantes...
Quoi? Que dis-tu? Que j'ouvre les yeux?
Je me réveille, où es-tu?
Mon Amour s'est envolé à jamais... Loin de ma réalité....
A ce soir, je t'attendrais, je serais là où tu m'as trouvée...
En parlant avec Popo de beaux gosses au cinéma, on a parlé « Danse Avec les Loups » et « Cheveux au vent »...
Oh! Mon! Dieu!
This is him! Trait pour trait.
vendredi 2 mai 2008
Je remue la salade sans en mettre partout, je suis, je suis...?
... Bonne à marier!!
Enfin il parait, parce que bon, hein, autant en primaire devant le beau gosse, ça nous faisait monter le rose aux joues, autant maintenant, ça veut juste dire "Chouette, j'ai pas à renettoyer ma cuisine de fond en comble à cause d'une p****n de salade", que je n'aime pas, soit dit en passant.
Mais là n'est pas le sujet, en fait.
Juste qu'en ce moment, j'ai envie de cuisiner, grave.
Prenez rien qu'aujourd'hui. On recevait mes cousins chez mon père.
"Poulet rôti?" Qu'il me dit...
"Ah non, moi je voudrais faire des petites brochettes en entrée (jambon fumé, tomates cerise, pousses de bambou), puis du porc teriyaki au sésame blanc et somen aux petits légumes (carottes, courgettes, poivrons, tomates et champignons noirs), et pour le dessert, des makis sucrés (crêpes au lieu du nori, riz au lait et lait de soja, framboise, pêche blanche et menthe glaciale).
Ah, j'ai oublié l'apéritif, je vais faire des chips de betteraves, tiens, j'ai vu ça sur M6."
Et ben, j'ai fait tout ça, pour 6, même que je suis bien crevée. On a presque trop mangé, et bu plus que raisonnablement, même pas de quoi être bourrés, ni même pompettes.
Je suis ravie, ce fut un franc succès.
Compliments, les gens se resservent, posent des questions:
"J'étais un peu sceptique sur les chips de betterave mais finalement, j'adoooore!!
-...et tu les fais comment en fait?"
(Très très fines tranches de betteraves faites à l'épluche légumes, recouvrir de farine de chaque côté, puis cuire à la friteuse, plus on les laisse, plus elles font des "cloques", plus elle sont croustillantes)
"La viande est top!
-Oui mais c'est pas ce que je voulais faire...
-On s'en fout, elle est super bonne comme ça!
-^^ Merci."
"C'est comment alors 'tit bout de chou? (NDLR: mon petit cousin de 5ans)
-Bon!
-Tu veux lécher la cuillère?
-Ouiiiii!!!!!"
Me reste plus qu'à... euh... faire le ménage à une autre heure qu'à 3heures du matin, repasser mes fringues à la méthode "Claire" (ma tante, qui les pose sous un matelas; pour l'instant, moi, je ne repasse pas du tout), et faire mes courses avec des bons de réductions pour chaque article, et je serais une parfaite ménagère de moins de 50ans....
...
Ah oui mais en fait, non, ça va pas être possible. Faut que je me remette d'urgence aux raviolis...
Pipo help me! :D
Enfin il parait, parce que bon, hein, autant en primaire devant le beau gosse, ça nous faisait monter le rose aux joues, autant maintenant, ça veut juste dire "Chouette, j'ai pas à renettoyer ma cuisine de fond en comble à cause d'une p****n de salade", que je n'aime pas, soit dit en passant.
Mais là n'est pas le sujet, en fait.
Juste qu'en ce moment, j'ai envie de cuisiner, grave.
Prenez rien qu'aujourd'hui. On recevait mes cousins chez mon père.
"Poulet rôti?" Qu'il me dit...
"Ah non, moi je voudrais faire des petites brochettes en entrée (jambon fumé, tomates cerise, pousses de bambou), puis du porc teriyaki au sésame blanc et somen aux petits légumes (carottes, courgettes, poivrons, tomates et champignons noirs), et pour le dessert, des makis sucrés (crêpes au lieu du nori, riz au lait et lait de soja, framboise, pêche blanche et menthe glaciale).
Ah, j'ai oublié l'apéritif, je vais faire des chips de betteraves, tiens, j'ai vu ça sur M6."
Et ben, j'ai fait tout ça, pour 6, même que je suis bien crevée. On a presque trop mangé, et bu plus que raisonnablement, même pas de quoi être bourrés, ni même pompettes.
Je suis ravie, ce fut un franc succès.
Compliments, les gens se resservent, posent des questions:
"J'étais un peu sceptique sur les chips de betterave mais finalement, j'adoooore!!
-...et tu les fais comment en fait?"
(Très très fines tranches de betteraves faites à l'épluche légumes, recouvrir de farine de chaque côté, puis cuire à la friteuse, plus on les laisse, plus elles font des "cloques", plus elle sont croustillantes)
"La viande est top!
-Oui mais c'est pas ce que je voulais faire...
-On s'en fout, elle est super bonne comme ça!
-^^ Merci."
"C'est comment alors 'tit bout de chou? (NDLR: mon petit cousin de 5ans)
-Bon!
-Tu veux lécher la cuillère?
-Ouiiiii!!!!!"
Me reste plus qu'à... euh... faire le ménage à une autre heure qu'à 3heures du matin, repasser mes fringues à la méthode "Claire" (ma tante, qui les pose sous un matelas; pour l'instant, moi, je ne repasse pas du tout), et faire mes courses avec des bons de réductions pour chaque article, et je serais une parfaite ménagère de moins de 50ans....
...
Ah oui mais en fait, non, ça va pas être possible. Faut que je me remette d'urgence aux raviolis...
Pipo help me! :D
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